Je joins le fichier mais je copie le texte ici (je crains que ce ne soit un peu long...) :
Par la présente, nous sollicitons le bénéfice de la procédure de traitement des situations de surendettement mentionnée aux articles L. 331-1 et suivants du Code de la consommation.
En effet, nous nous trouvons aujourd'hui dans l'impossibilité d'honorer l'entièreté de nos dettes.
Actuellement, Madame est enseignante, professeur de français certifié, titulaire du CAPES de lettres modernes depuis 2013. Monsieur est webmaster pour l'oNISEP (branche de l'Education Nationale) depuis le mois de mars 2013, ayant été renouvelé en CDD à deux reprises -le prochain se termine le 31 août 2015, et sera reconduit pour un an supplémentaire. Nos revenus sont aujourd'hui, et depuis un et demi, pérennes et stables.
C'est cette même stabilité qui a permis à Madame de contracter « facilement » plusieurs crédits. Le dernier date du mois d'avril 2014, et devait permettre le remboursement de dettes, notamment auprès des banques. Ces dettes sont dues à de nombreux impayés pour les remboursements de créanciers, ayant conduit Madame à faire des chèques sans provision. La Banque Populaire, ayant autorisé un découvert de 1700 EUR (un mois de salaire de Madame), a donc supprimé du jour au lendemain cette autorisation. Il a par conséquence fallu emprunter pour le rembourser.
Des crédits importants ont été sollicités par Madame, à l'insu de Monsieur, pour financer l'achat d'un véhicule automobile, l'équipement de l'appartement, pour rembourser enfin des dettes antérieures. Ce comportement est à mettre en lien avec une dépression profonde et ancienne que Madame met au jour grâce à l'aide d'une psychologue de l'hôpital. Suivie depuis plusieurs années, Madame tente de comprendre son comportement. Vous trouverez en pièce jointe un courrier de sa psychologue détaillant plus amplement un comportement qui relève de l'achat compulsif.
En janvier 2012, Monsieur, après une longue période de chômage, a retrouvé un travail, très bien payé. Ainsi le couple a-t-il pu souscrire un crédit pour un véhicule neuf. Mais dès le deuxième mois, le patron n'a pas pu verser le salaire et Monsieur a passé presque un an à travailler sans être payé. Durant cette année, des emprunts ont été sollicités, à un ami, aux membres de la famille, pour tenter de payer les charges. Malgré la situation, Madame a contracté des crédits, et les dettes se sont accumulées. De retard en retard, de rejet en rejet, les frais bancaires également. Aujourd'hui, la situation n'est plus gérable pour rembourser tout le monde. C'est grâce au travail mené avec la psychologue que nous venons aujourd'hui solliciter votre aide, comme un moyen de gagner en sérénité, et de soigner les méfaits de la dépression.
Nous vous remercions pour l'attention que vous accorderez à notre situation et vous prions de recevoir, Madame, Monsieur, l'expression de respectueuses salutations.
Très belle plume, capes lettres oblige ;)
Peut être à revoir a minima dans la construction pour mieux percevoir la spirale du surentemment, qui a finalement commencé très tôt et arrive un peu tard dans la lettre.
Attendons d'autres avis ;)
Agréable à lire dans tous les cas bbbo bbbo bbbo bbbo bbbo
Merci pour ces compliments.
Ce n'est qu'un premier jet, comme ça. Je suis sûre qu'on peut retravailler mieux que cela. J'ai néanmoins choisi de ne parler d'une des vraies du surendettement qu'à la fin pour que l'effet soit plus percutant. Je crois que cela fonctionne assez bien...
je comprends la tactique ;)
On va attendre d'autres avis tout de même.
Quand comptez vous déposer votre dossier?
J'ai revu l'ordre des paragraphes : mieux ou pas ?
Actuellement, Madame est enseignante, professeur de français certifié, titulaire du CAPES de lettres modernes depuis 2013. Monsieur est webmaster pour l'oNISEP (branche de l'Education Nationale) depuis le mois de mars 2013, ayant été renouvelé en CDD à deux reprises -le prochain se termine le 31 août 2015, et sera reconduit pour un supplémentaire. Nos revenus sont aujourd'hui, et depuis un et demi, pérennes et stables.
En janvier 2012, Monsieur, après une longue période de chômage, a retrouvé un travail, très bien payé. Ainsi le couple a-t-il pu souscrire un crédit pour un véhicule neuf. Mais dès le deuxième mois, le patron n'a pas pu verser le salaire et Monsieur a passé presque un an à travailler sans être payé, sans pouvoir démissionner -sans quoi il aurait perdu et ses salaires, et des indemnités éventuelles de chômage. Durant cette année, des emprunts ont été sollicités, à un ami, aux membres de la famille, pour tenter de payer les charges. Malgré la situation, Madame a contracté des crédits, et les dettes se sont accumulées. De retard en retard, de rejet en rejet, les frais bancaires également. Aujourd'hui, la situation n'est plus gérable pour rembourser tout le monde.
Pourtant, depuis 2013, les revenus sont conséquents. Or, cette même stabilité a permis à Madame de contracter « facilement » plusieurs crédits. Le dernier date du mois d'avril 2014, et devait permettre le remboursement de dettes, notamment auprès des banques. Ces dettes sont dues à de nombreux impayés pour les remboursements de créanciers, ayant conduit Madame à faire des chèques sans provision. La Banque Populaire, ayant autorisé un découvert de 1700 EUR (un mois de salaire de Madame), a donc supprimé du jour au lendemain cette autorisation. Il a par conséquence fallu emprunter pour le rembourser.
Des crédits importants ont été sollicités par Madame, à l'insu de Monsieur, pour financer l'achat d'un véhicule automobile, l'équipement de l'appartement, pour rembourser enfin des dettes antérieures. Ce comportement est à mettre en lien avec une dépression profonde et ancienne que Madame met au jour grâce à l'aide d'une psychologue de l'hôpital. Suivie depuis plusieurs années, Madame tente de comprendre son comportement. Vous trouverez en pièce jointe un courrier de sa psychologue détaillant plus amplement un comportement qui relève de l'achat compulsif. C'est grâce au travail mené avec la psychologue que nous venons aujourd'hui solliciter votre aide, comme un moyen de gagner en sérénité, et de soigner les méfaits de la dépression.
@ zorah :
comme les commissions sont tous les 15 jours, j'aurais aimé avoir celle de la quinzaine qui vient, je pense entre le 25 et le 30. Mais il me manque un certain nombre de documents (lettre de mon père qui stipule ce que je lui dois, ah oui, il est en Nouvelle-Zélande ; évaluation de l'appartement, lettre de la psy surtout). Donc j'espère pouvoir réunir tout cela aussi vite que possible, et pouvoir déposer au plus tôt (lundi ce serait bien). Tout en sachant que vu le nombre de dossiers, il est sûrement improbable qu'il passe à la prochaine commission !
entre le 25 et le 30, je n'y compterais pas de trop.
Le dossier doit être étudié par un conseiller BDF avant de passer en commission ;)
courrier relu.. toujours embêtée par l'intro pas assez "punchy" à mon goût......
Dans ce type de lettre, à mon sens , il faut expliquer le pourquoi de la spirale dès le début puis ensuite dérouler....
malheureusement il est évident que les dossiers ne peuvent être instruits à réception vu le nombre de dépôt croissant, ne vous projetez pas dans une date proche d'autant plus que toutes les pièces ne sont pas au dossier (évaluation de votre bien et renseignements sur vos prêts famille ainsi que votre certificat médical) votre dossier sera instruit quand il sera complet, ce qui va vous donner une approximation de la date.
Sur la pochette du courrier, il y a marqué qu'il faut mentionner :
- les raisons du surendettement
- la situation personnelle et familiale
- le dernier diplôme obtenu, dernières formations suivies et à quelle date
- la situation professionnel
- les projets professionnels
- une explication sur les dépenses particulières
si je mets tout ça ma lettre fait 3 pages ! Par contre je n'ai pas mentionné dans le courrier tout un tas de 'coups durs' de cette année (changement de pare-brise à 700EUR à cause du refus de l'assurance de rembourser ; changement d'assurance auto donc solde de la précédente de 600EUR au mois de janvier , facture de régulation de 933EUR au mois de juillet... plus les frais...). Je dois le mentionner ?
Les détails seront à préciser dans le dossier lui-même.
C'est un peu long en effet, même si c'est joli... ce n'est pas le but recherché ! :P
A mon avis, ça mérite un gros compactage, en mettant en avant votre dépression (sans rentrer dans les détails, ça ne regarde pas la BDF) et les mois sans salaires de monsieur.
Le reste n'apporte pas grand chose à la compréhension de la situation.
Je pense qu'il faut que je mise sur la pérennité des revenus si je veux éviter qu'ils vendent ma voiture... il est important que je montre ma bonne volonté pour progresser et me sortir de là, en mettant en avant les efforts que nous avons déjà faits. Je vais la reprendre, je rendrai le dossier plus tard, quand il sera parfaitement au point. Il vaut mieux que je prenne un peu de temps maintenant pour que je le remplisse comme il faut, mais que je ne perdre pas de temps après à apporter un papier par ci ou par là, non ?
Autre question qui n'a rien à voir : on demande les tableaux d'amortissements des crédits, mais je n'en que pour 2 crédits sur 5. Pour les autres, malgré toutes mes demandes depuis des mois, à chaque fois on me dit 'oui oui je vous envoie cela par la poste ce jour' et je n'ai toujours rien -_- Que puis-je faire ?
Merci de poser vos questions sur l'autre fil. Celui-ci doit être réservé à) la lettre de saisine.
Si vous n'avez pas les tableaux d'amortissement, vous l'indiquez. La BDF s'en débrouillera.
Bonjour à tous :)
J'ai retravaillé ma lettre, et je voudrais votre avis.
Merci par avance :)
Par la présente, nous sollicitons le bénéfice de la procédure de traitement des situations de surendettement mentionnée aux articles L. 331-1 et suivants du Code de la consommation. En effet, nous nous trouvons aujourd'hui dans l'impossibilité d'honorer l'entièreté de nos dettes.
Actuellement, Madame est enseignante, professeur de français certifié, titulaire du CAPES de lettres modernes depuis 2013. Monsieur est webmaster pour l'oNISEP (branche de l'Education Nationale) depuis le mois de mars 2013, ayant été renouvelé en CDD à deux reprises -le prochain se termine le 31 août 2015, et sera reconduit pour un an supplémentaire. Les revenus sont aujourd'hui, et depuis un an et demi, pérennes et stables.
En mars 2012, Monsieur, après une longue période de chômage, a retrouvé un travail, très bien payé. Mais dès le deuxième mois, le patron n'a pas pu verser le salaire et Monsieur a passé presque un an à travailler sans être payé, sans pouvoir démissionner ni être au chômage. Durant cette année, des emprunts ont été sollicités, à un ami, aux membres de la famille, pour tenter de payer les charges. Malgré la situation, Madame a contracté des crédits, et les dettes se sont accumulées. De retard en retard, de rejet en rejet, les frais bancaires également. Aujourd'hui, la situation n'est plus gérable pour rembourser tout le monde.
Des crédits importants ont été sollicités par Madame, à l'insu de Monsieur, pour financer l'achat d'un véhicule automobile, l'équipement de l'appartement, pour rembourser enfin des dettes antérieures. Ce comportement est à mettre en lien avec une dépression profonde et ancienne que Madame met au jour grâce à l'aide d'une psychologue de l'hôpital. Suivie depuis plusieurs années, Madame tente de comprendre son comportement. Vous trouverez en pièce jointe un courrier de sa psychologue détaillant plus amplement un comportement qui relève de l'achat compulsif. C'est grâce au travail mené avec la psychologue que nous venons aujourd'hui solliciter votre aide, comme une possibilité de gagner en sérénité, et de soigner les méfaits de la dépression.
Nous vous remercions pour l'attention que vous accorderez à notre situation et vous prions de recevoir, Madame, Monsieur, l'expression de respectueuses salutations.
Pas suivi votre fil :P me mets donc à la place de la BDF
Par la présente, nous sollicitons le bénéfice de la procédure de traitement des situations de surendettement mentionnée aux articles L. 331-1 et suivants du Code de la consommation. En effet, nous nous trouvons aujourd'hui dans l'impossibilité d'honorer l'entièreté de nos dettes.
Actuellement, Madame est enseignante, professeur de français certifié, titulaire du CAPES de lettres modernes depuis 2013. Monsieur est webmaster pour l'oNISEP (branche de l'Education Nationale) depuis le mois de mars 2013, ayant été renouvelé en CDD à deux reprises -le prochain se termine le 31 août 2015, et sera reconduit pour un an supplémentaire. Les revenus sont aujourd'hui, et depuis un an et demi, pérennes et stables.
En mars 2012, Monsieur, après une longue période de chômage, a retrouvé un travail, très bien payé. Mais dès le deuxième mois, le patron n'a pas pu verser le salaire et Monsieur a passé presque un an à travailler sans être payé, sans pouvoir démissionner ni être au chômage. pourquoi ?
Durant cette année, nous avons emprunter auprès d'un ami, membres de la famille, pour tenter de payer les charges.
Malgré la situation, Madame a contracté des crédits, et les dettes se sont accumulées. De retard en retard, de rejet en rejet, les frais bancaires également. Aujourd'hui, la situation n'est plus gérable pour rembourser tout le monde.
Des crédits importants ont été sollicités par Madame, à l'insu de Monsieur, pour financer l'achat d'un véhicule automobile, l'équipement de l'appartement, pour rembourser enfin des dettes antérieures.
Ce comportement est à mettre en lien avec une dépression profonde et ancienne que Madame met au jour grâce à l'aide d'une psychologue de l'hôpital. Suivie depuis plusieurs années, Madame tente de comprendre son comportement. Vous trouverez en pièce jointe un courrier de sa psychologue détaillant plus amplement un comportement qui relève de l'achat compulsif. C'est grâce au travail mené avec la psychologue que nous venons aujourd'hui solliciter votre aide, comme une possibilité de gagner en sérénité, et de soigner les méfaits de la dépression.
Nous vous remercions pour l'attention que vous accorderez à notre situation et vous prions de recevoir, Madame, Monsieur, l'expression de respectueuses salutations.
je me suis posée la même question que toi Smily ;)
Par ailleurs, en condensant, on manque de "liant" entre le chômage de monsieur et l'addiction de madame. Il n'y a aucan rapport mais du coup dans la lettre, la chronologie ne suit plus ;)
Enfin, je reprends le texte: C'est grâce au travail mené avec la psychologue que nous venons aujourd'hui solliciter votre aide, comme une possibilité de gagner en sérénité, et de soigner les méfaits de la dépression.
Pour moi, il y a confusion....mais c'est juste une tournure de phrase inadaptée ;)
On ne sollicite pas la BDF pour soigner les méfaits d'une dépression ;)
On va y arriver ;)
Merci pour votre aide.
Je ne voulais pas m'étendre sur le pourquoi dans la lettre car c'est un peu long. En fin de compte c'est tout simple : s'il démissionnait, il perdait tout droit au chômage ainsi que l'intégralité des salaires qu'il aurait dû percevoir.
Lorsque le patron a enfin décidé la liquidation judiciaire, c'est le fond de garantie des salaires qui a versé les salaires, mais il a fallu travailler pendant presque un an.
Je vais retravailler :)
il est difficle de dire que Madame a fait des crédits pour l'achat d'une voiture sans que Monsieur s'en aperçoive, il faudrait formuler autrement si possible.
Voici la nouvelle version. Je mets en gras les passages que j'ai changés. Cela vous parait-il plus cohérent ?
En mars 2012, Monsieur, après une longue période de chômage, a retrouvé un travail, très bien payé. Mais dès le deuxième mois, le patron n'a pas pu verser le salaire et Monsieur a passé presque un an à travailler sans être payé, sans pouvoir démissionner (cela aurait entraîné inévitablement un renoncement aux salaires qui auraient dû être perçus et n'aurait pu déclencher la procédure d'indemnisation chômage). Durant cette année, nous avons emprunté à un ami et aux membres de la famille pour tenter de payer les charges.
Toutefois, si cette situation a créé un endettement rapide, elle n'est pas seule responsable des difficultés de remboursement aujourd'hui rencontrées. En effet, des crédits importants ont été sollicités par Madame, à l'insu de Monsieur, pour financer l'équipement de l'appartement, pour rembourser des dettes antérieures. Ce comportement est à mettre en lien avec une dépression profonde et ancienne que Madame met au jour grâce à l'aide d'une psychologue de l'hôpital. Suivie depuis plusieurs années, Madame tente de comprendre son comportement. Vous trouverez en pièce jointe un courrier de sa psychologue détaillant plus amplement un comportement qui relève de l'achat compulsif. C'est grâce au travail mené avec la psychologue que nous venons aujourd'hui solliciter votre aide, afin de sortir de l'endettement dans lequel nous sommes plongés, et pouvoir envisager à nouveau un avenir serein.
C'est plus cohérent, oui, mais ça reste à réorganiser...
J'essaie de revenir dans la journée, ou, au plus tard, ce soir.
Encore une nouvelle version... On va y arriver ! Merci encore pour votre aide.
Aujourd'hui, nous nous trouvons dans l'incapacité de rembourser nos dettes, en raison d'une non-maîtrise des dépenses de la part de Madame. En effet, souffrant d'une dépression sévère depuis longtemps, dépenser est un moyen pour Madame de palier sa souffrance. Ce constat est le fruit d'un travail assidu avec une psychologue depuis plusieurs années. Madame prend enfin conscience de la dure réalité dans laquelle son comportement a plongé le couple. Vous trouverez en pièce jointe un courrier de sa psychologue détaillant plus amplement un comportement qui relève de l'achat compulsif. C'est grâce au travail mené avec la psychologue que nous venons aujourd'hui solliciter votre aide, afin de sortir de l'endettement dans lequel nous sommes plongés, et pouvoir envisager à nouveau un avenir serein.
d'autre part, des raisons « extérieures » ont favorisé le surendettement du couple. En effet, au mois de mars 2012, Monsieur, après une longue période de chômage, a retrouvé un travail, très bien payé. Mais dès le deuxième mois, le patron n'a pas pu verser le salaire et Monsieur a passé presque un an à travailler sans être payé, et sans pouvoir démissionner (cela aurait entraîné inévitablement un renoncement aux salaires qui auraient dû être perçus et n'aurait pu déclencher la procédure d'indemnisation chômage). Durant cette année, nous avons emprunté à un ami et aux membres de la famille pour tenter de payer les charges.
Les crédits et la facilité qu'ils offraient ont été une « solution » que le couple a cru envisageable. Mais Madame n'a pas su jauger les dépenses et réaliser le montant de ces crédits. C'est aujourd'hui, encore une fois, ce constat amer qui nous pousse à réaliser que la seule solution pour nous sortir de cette situation est de nous tourner vers vous.
Ca me paraît beaucoup plus clair ! ;)
On va attendre l'avis de l'inspecteur des travaux finis du rat... >:D
et le rat pinaille car c'est vraiment très clair ;)
Bravo !
Modifs en rouge pour ne pas surcharger
Aujourd'hui, nous nous trouvons dans l'incapacité de rembourser nos dettes, en raison d'une non-maîtrise des dépenses de la part de Madame. En effet, souffrant d'une dépression sévère depuis longtemps, dépenser est un moyen pour Madame de palier sa souffrance. Ce constat est le fruit d'un travail assidu avec une psychologue depuis plusieurs années. Madame prend enfin conscience de la dure réalité dans laquelle son comportement a plongé le couple. Vous trouverez en pièce jointe un courrier de sa psychologue détaillant plus amplement un comportement qui relève de l'achat compulsif. C'est grâce au travail mené avec la psychologue que nous venons aujourd'hui solliciter votre aide, afin de sortir de l'endettement dans lequel nous sommes plongés, et pouvoir envisager à nouveau un avenir serein.
Par ailleurs, des raisons « extérieures » ont concomitamment contribué au surendettement du couple. En effet, au mois de mars 2012, Monsieur, après une longue période de chômage, a retrouvé un travail, très bien payé. Mais dès le deuxième mois, le patron n'a pas pu verser le salaire et Monsieur a passé presque un an à travailler sans être payé, et sans pouvoir démissionner (cela aurait entraîné inévitablement un renoncement aux salaires qui auraient dû être perçus et auraient empêché, de fait, de déclencher la procédure d'indemnisation chômage). Durant cette année, nous avons emprunté à un ami et aux membres de la famille pour tenter de payer les charges.
Les crédits et la facilité qu'ils offraient ont semblé une « solution » que le couple a cru envisageable. Mais Madame n'a pas su jauger les dépenses et réaliser le montant de ces crédits. C'est aujourd'hui, encore une fois, ce constat amer qui nous pousse à réaliser que la seule solution pour nous sortir de cette situation est de nous tourner vers vous.
Je modifie ainsi et je l'imprime.
Je vais aller déposer le dossier demain je pense. On croise les doigts :s
Oui! xxl! xxl! xxl! xxl! xxl! xxl!
xxl! xxl! xxl! xxl! xxl! xxl! xxl! xxl!
Merci pour votre soutien.
Je le déposerai la semaine prochaine finalement.
On y croit toutefois.
Citation de: elianor le 13 Novembre 2014 à 19:51:44
Merci pour votre soutien.
Je le déposerai la semaine prochaine finalement.
On y croit toutefois.
pourquoi "toutefois"? ::)
Pas de raison spéciale...
Je me suis pris la tête avec ma banquière hier, qui est une crétine finie (pas un jugement, un simple constat), et cela m'a vraiment démoralisée.
Du coup j'ai mis "toutefois" dans un élan de désespoir.