http://www.verotfournet-avocat.fr/teg-la-banque-a-droit-a-une-petite-erreur/
ayant relevé que l'écart entre le taux effectif global de 5,672 % l'an mentionné dans le contrat de prêt et le produit du taux de période, non contesté, par le nombre d'échéances de remboursement dans l'année, 5,743 %, était inférieur à la décimale prescrite par l'article R. 313-1 (https://www.legifrance.gouv.fr/affichCodeArticle.do;jsessionid=0E05F06445D0769945B9ED4B9DF1A691.tpdila16v_1?idArticle=LEGIARTI000023520043&cidTexte=LEGITEXT000006069565&dateTexte=20150906) [devenu R 314-2 (https://www.legifrance.gouv.fr/affichCodeArticle.do;jsessionid=0E05F06445D0769945B9ED4B9DF1A691.tpdila16v_1?idArticle=LEGIARTI000032807606&cidTexte=LEGITEXT000006069565&dateTexte=20170825)] du code de la consommation, c'est à bon droit que la cour d'appel a rejeté la demande d'annulation de la clause d'intérêts conventionnels du contrat de prêt
Cour de cassation - chambre commerciale - 18 mai 2017 - 16-11147 (https://www.legifrance.gouv.fr/affichJuriJudi.do?oldAction=rechJuriJudi&idTexte=JURITEXT000034785695&fastReqId=640590954&fastPos=1)
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