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Le fil des anti dosettes de café et des gentils qui ne jardinent pas

Démarré par jean s, 16 Juillet 2011 à 19:32:24

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jean s

Va falloir vous consoler un peu

Le cerveau du cachalot pèse environ 7 kg, soit plus de cinq fois plus que les 1300 grammes du cerveau humain.

Les éléphants eux aussi ont un cerveau bien plus gros que les humains: environ 5 kg. :D :D bbbo

lisette75

le problême du cerveau, c'est comme le reste, ça dépends comment on s'en sert.....  nananère
Maintenant, les filles, on va enfin savoir à quoi pensent les gars !  -!!) Cette espece mysterieuse que sont les hommes ! ;D

Smilysoul

Citation de: lisette75 le 17 Juillet 2011 à 10:37:56
Maintenant, les filles, on va enfin savoir à quoi pensent les gars !  -!!) Cette espece mysterieuse que sont les hommes ! ;D
quelques citations  >:D >:D

Il n'y a que deux sortes de femmes: celles qui trompent leur mari, et celles qui disent que ce n'est pas vrai.
Marcel Achard


"Si la femme était bonne, Dieu en aurait une."
Sacha Guitry


"Les femmes sont comme des miroirs, elles réfléchissent mais ne pensent pas. "
Schopenhauer


"Qu'y a t'il de pire qu'une femme ? Deux femmes."
Jean Cocteau


"La femme ne voit jamais ce qu'on fait pour elle, elle ne voit que ce qu'on ne fait pas."
Georges Courteline


"Celui qui cherche une femme belle, bonne et intelligente, n'en cherche pas une mais trois."
Oscar Wilde


j'ai rien dit hein je cite  ;D ;D >:D >:D
L'espérance est un risque à courir.
Georges Bernanos

victoire

j'ai rien dit hein je cite

C'est pareil que si tu les avais écrites.
Je sens un certain soulagement en toi à les écrire. >:D >:D >:D

Il existe deux types d'hommes : ceux qui font du bon café et les autres. Victoire ;D   
Ce n'est pas parce que les choses sont difficiles que nous n'osons pas c'est parce que nous n'osons pas qu'elles sont difficiles.<br />Sénèque

Comailles

Citation de: victoire le 17 Juillet 2011 à 18:37:23

Il existe deux types d'hommes : ceux qui font du bon café et les autres. Victoire ;D   


Heu, Victoire y'a aussi ceux qui savent jardiner hein ;)

victoire

Citation de: COMAILLES le 17 Juillet 2011 à 18:46:30
Citation de: victoire le 17 Juillet 2011 à 18:37:23

Il existe deux types d'hommes : ceux qui font du bon café et les autres. Victoire ;D   


Heu, Victoire y'a aussi ceux qui savent jardiner hein ;)

Pardon!! :o :o :o
Il existe deux types d'hommes : ceux qui savent jardiner et faire du bon café et les autres.
C'est mieux? :-* :-*
Ce n'est pas parce que les choses sont difficiles que nous n'osons pas c'est parce que nous n'osons pas qu'elles sont difficiles.<br />Sénèque

jean s

Oui les autres c'est mieux , les autres c'est nous .
Nous c'est le goût.
Les autres font du café grand mère , grand mère sait faire un bon café.

Ah ah ah Nous on sait écrire et apprendre des textes et on n'a pas besoin de brise de Nice pour sentir bon  nananère ccbat ccbat ccbat ccbat ccbat ccbat

victoire

Jean , si tu sais jardiner et faire un bon café : tu es l'homme parfait. ;) :-* :-*
Ce n'est pas parce que les choses sont difficiles que nous n'osons pas c'est parce que nous n'osons pas qu'elles sont difficiles.<br />Sénèque

Smilysoul

L'espérance est un risque à courir.
Georges Bernanos

jean s

Voici vos idoles mesdames après quelques années de jardinage et de café dosettes


victoire

Ce n'est pas parce que les choses sont difficiles que nous n'osons pas c'est parce que nous n'osons pas qu'elles sont difficiles.<br />Sénèque

victoire

Citation de: jean s le 17 Juillet 2011 à 19:00:20
Voici vos idoles mesdames après quelques années de jardinage et de café dosettes



Désolée , Jean mais Georges est plus fufute que ce gouverneur acteur frimeur!!! ;)
Ce n'est pas parce que les choses sont difficiles que nous n'osons pas c'est parce que nous n'osons pas qu'elles sont difficiles.<br />Sénèque

Comailles

Citation de: jean s le 17 Juillet 2011 à 19:00:20
Voici vos idoles mesdames après quelques années de jardinage et de café dosettes



En plus même jeune, il a jamais été beau ;D

jean s

Que doit être l'homme en son être, s'il doit pouvoir être de mauvaise foi ? »
? Voici, par exemple, une femme qui s'est rendue à un premier rendez-vous. Elle sait fort bien les intentions que l'homme qui lui parle nourrit à son égard. Elle sait aussi qu'il lui faudra prendre tôt ou tard une décision. Mais elle n'en veut pas sentir l'urgence : elle s'attache seulement à ce qu'offre de respectueux et de discret l'attitude de son partenaire. Elle ne saisit pas cette conduite comme une tentative pour réaliser ce qu'on nomme « les premières approches », c'est-à-dire qu'elle ne veut pas voir les possibilités de développement temporel que présente cette conduite : elle borne ce comportement à ce qu'il est dans le présent, elle ne veut pas lire dans les phrases qu'on lui adresse autre chose que leur sens explicite, si on lui dit : « Je vous admire tant », elle désarme cette phrase de son arrière-fond sexuel, elle attache aux discours et à la conduite de son interlocuteur des significations immédiates qu'elle envisage comme des qualités objectives. L'homme qui lui parle lui semble sincère et respectueux comme la table est ronde ou carrée, comme la tenture murale est bleue ou grise. Et les qualités ainsi attachées à la personne qu'elle écoute se sont ainsi figées dans une permanence chosiste qui n'est autre que la projection dans l'écoulement temporel de leur strict présent. C'est qu'elle n'est pas au fait de ce qu'elle souhaite : elle est profondément sensible au désir qu'elle inspire, mais le désir cru et nu l'humilierait et lui ferait horreur. Pourtant, elle ne trouverait aucun charme à un respect qui serait uniquement du respect. Il faut, pour la satisfaire, un sentiment qui s'adresse tout entier à sa personne, c'est-à-dire à sa liberté plénière, et qui soit une reconnaissance de sa liberté. Mais il faut en même temps que ce sentiment soit tout entier désir, c'est-àdire qu'il s'adresse à son corps en tant qu'objet. Cette fois donc, elle refuse de saisir le désir pour ce qu'il est, elle ne lui donne même pas de nom, elle ne le reconnaît que dans la mesure où il se transcende vers l'admiration, l'estime, le respect et où il s'absorbe tout entier dans les formes plus élevées qu'il produit, au point de n'y figurer plus que comme une sorte de chaleur et de densité. Mais voici qu'on lui prend la main. Cet acte de son interlocuteur risque de changer la situation en appelant une décision immédiate : abandonner cette main, c'est consentir de soi-même au flirt, c'est s'engager. La retirer, c'est rompre cette harmonie trouble et instable qui fait le charme de l'heure. Il s'agit de reculer le plus loin possible l'instant de la décision. On sait ce qui se produit alors : la jeune femme abandonne sa main, mais ne s'aperçoit pas qu'elle l'abandonne. Elle ne s'en aperçoit pas parce qu'il se trouve par hasard qu'elle est, à ce moment, tout esprit. Elle entraîne son interlocuteur jusqu'aux régions les plus élevées de la spéculation sentimentale, elle parle de la vie, de sa vie, elle se montre sous son aspect essentiel : une personne, une conscience. Et pendant ce temps, le divorce du corps et de l'âme est accompli ; la main repose inerte entre les mains chaudes de son partenaire : ni consentante ni résistante - une chose.
Nous dirons que cette femme est de mauvaise foi. Mais nous voyons aussitôt qu'elle use de différents procédés pour se maintenir dans cette mauvaise foi. Elle a désarmé les conduites de son partenaire en les réduisant à n'être que ce qu'elles sont, c'est-à-dire à exister sur le mode de l'en-soi. Mais elle se permet de jouir de son désir, dans la mesure où elle le saisira comme n'étant pas ce qu'il est, c'est-à-dire où elle en reconnaîtra la transcendance. Enfin, tout en sentant profondément la présence de son propre corps - au point d'être troublée peut-être - elle se réalise comme n'étant pas son propre corps et elle le contemple de son haut comme un objet passif auquel des événements peuvent arriver, mais qui ne saurait ni les provoquer ni les éviter, parce que tous ses possibles sont hors de lui. Quelle unité trouvons-nous dans ces différents aspects de la mauvaise foi ? C'est un certain art de former des concepts contradictoires, c'est-à-dire qui unissent en eux une idée et la négation de cette idée".

Par Sartre Publié dans : Philosophie terminales

jean s

J'ose espérer que vu qu'on est nous les hommes minoritaires sur ce fil par rapport à "vous les femmes" vous accepterez que j'ai appelé à la rescousse JP S