angeladispopasdispo et finantruc

Démarré par angela, 27 Août 2012 à 10:02

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0 Membres et 1 Invité sur ce sujet

angela

merci................................... :-* :-* :-* :-* :-* :-* :-* :-* :-* :-* :-*

bisane

Pourquoi dans 2 mois c'est vous ?
Soyez vigilants à ce licenciement supposément économique...
il n'y a que les combats que l'on ne livre pas que l'on est sûr de perdre...

feufolette

il a rendez vous à pôle emploi pour des renseignements ou pour s'inscrire suite à licenciement éco déjà effectué ??
l'artiste est menteur mais l'art est vérité (François Mauriac)

angela

Citation de: bisane le 01 Avril 2013 à 22:21
Pourquoi dans 2 mois c'est vous ?
Soyez vigilants à ce licenciement supposément économique...

oui bisane fin juin je finis une garde voire deux  :-\ :-\ :-\ ! et je n'ai aucun appel pour de nouveaux contrats cela m'inquiète !!

j'aurai du faire mon redépot maintenant en faite avec la situation de mon mari changeante !! car maintenant je ne peux pas vu qu'il existe un recours !!!  :-\

bisane

Pourquoi ne répondez-vous pas sur la cause du chômage de votre mari ?
il n'y a que les combats que l'on ne livre pas que l'on est sûr de perdre...

angela

Citation de: bisane le 02 Avril 2013 à 15:02
Pourquoi ne répondez-vous pas sur la cause du chômage de votre mari ?

j'en ai déja parlé bisane !
on lui a proposé de baisser son salaire cause économique !! mon mari a refuser donc licencié , mais moi je pense surtout que mr le patron n'a pas apprécié son long arret maladie , alors tout est pretexte pour le virer !! 

il voulait meme le forcer a démissionner :o :o :o :o

voila bisane

feufolette

#1206
sur le principe de la baisse de salaire (présentée normalement sous forme de diminution d'horaires) et le refus du salarié assimilé à un licenciement éco) c'est admissible. (sauf à contester la situation de difficulté de l'entreprise, ce qui est difficile à faire par un salarié qui n'a pas accès au bilan, et implique prud'homme)

  Il n'en demeure pas moins qu'il y a une procédure à respecter, même s'il a moins d'un an d'ancienneté.  Qui dit licenciement éco (ou pas éco d'ailleurs) dit convocation à un entretien préalable, tenue de l'entretien, puis envoi de la lettre de licenciement et il y a des délais à respecter entre chaque étape; sinon la procédure est nulle.

  Je ne suis plus à jour en la matière mais on peut peut être demander à ns, sinon on trouvera l'info.
  Que s'est il passé de manière précise ? 

J'oubliais : lors de l'entretien le salarié peut être assisté par un conseil de son choix (il y a une liste de ces personnes ); la possibilité d'assistance doit être mentionnée dans la lettre de convocation à l'entretien préalable. Par contre, l'employeur n'a pas le droit de se faire assister par son conseil lors de cet entretien, à peine de nullité.

 
l'artiste est menteur mais l'art est vérité (François Mauriac)

zorah0412

C'est pas net tout ça..... ::)
Feuf a raison. On perd certainement des droits ici où là mais il y a encore!!!!! :P  une procédure à respecter!


Il a un papier officiel de licenciement ton mari, Angela!


Car le blême, c'est que si les procédures ne sont pas respectées...il ne va rien toucher de pôle emploi..... :P :P :P :P :P :P :P :P :P
mieux vaut être optimiste et se tromper que pessimiste et d'avoir raison!

newstart

#1208
Bonsoir tout le monde


procédure de licenciement:


5 jours mini entre la convocation et l'entretien
2 jours mini après l'entretien pour notifier le licenciement (7 jours en cas de licenciement éco)


j'ai trouvé ça aussi : http://www.infoprudhommes.fr/node/691


:-* :-* :-* :-*
On a le droit d'échouer, pas de ne pas essayer !

newstart

il faut vraiment que l'employeur est tout fait dans les règles et elles sont nombreuses !!


faut vraiment vérifier l'application correcte de la procédure
On a le droit d'échouer, pas de ne pas essayer !

angela

il a eu son entretien le jour de sa reprise de boulot ! reçu la lettre etc...

merci de votre soutien les filles  :-*

bisane

Citation de: angela le 02 Avril 2013 à 20:15
il a eu son entretien le jour de sa reprise de boulot ! reçu la lettre etc...
Ca ne peut pas se passer comme ça... Il aurait dû recevoir une lettre auparavant...

Angela, ne faites pas l'autruche...
Depuis le début ce n'est pas clair, et il apparaît en revanche de plus en plus clairement que la procédure n'a pas été respectée !
De plus, il doit avoir droit à une prime, même minime, si licenciement éco !
il n'y a que les combats que l'on ne livre pas que l'on est sûr de perdre...

angela

oui il a un prime très riquiqui d'ailleurs puisqu'il avait 9 mois de boite,
si si il a eu son courrier en recommandé, et comme il avait 20 jours de congés son boss lui a dit de les prendre!

un mois s'est écoulé depuis son premier entretien déja

angela

nous avons fait l'inscription pole emploi en ligne et tout est nickel d'après eux, et on a reçu par mail la convocation pour le jeudi afin de valider son inscription , il a son attestation employeur, son certificat de travai et son solde de tout compte ! non je vous assure tout est nickel,

zorah0412

Bon, très bien! ;)


S'il a du temps, ça serait quand même bien de passer par l'inspection du travail ;)
juste pour être sûr! ;)
mieux vaut être optimiste et se tromper que pessimiste et d'avoir raison!

bisane

Citation de: angela le 02 Avril 2013 à 20:21si si il a eu son courrier en recommandé, et comme il avait 20 jours de congés son boss lui a dit de les prendre!
Depuis sa reprise ?
il n'y a que les combats que l'on ne livre pas que l'on est sûr de perdre...

feufolette

tu veux dire SES recommandés (un pour la convoc à l'entretien, un pour la notification du licenciement).


congés : il lui a fait prendre avant le départ; c'est moyen mais tu y gagnes le délai de carence pour l'indemnisation assedic (glurb  pôle emploi)


quid du préavis ?
l'artiste est menteur mais l'art est vérité (François Mauriac)

Persévérance

Un syndicat pourrait vérifier avec vous que la procédure a été respectée ou pas  ;) Et vous orientera éventuellement vers les prud'hommes  ;)
Je vais finir par réussir à essayer d'arriver de ne plus paniquer dans le vide

feufolette

#1218
ou déjà un des conseillers du salarié dont l'assistance est prévue  pour l'entretien préalable (ce sont souvent des syndicalistes ou d'anciens conseillers prud'hommes)

A moins que ton mari n'ait bénéficié de l'assistance prévue ?

    je te (lui ) laisse comparer avec son déroulé des opérations : (source site du ministère du travail)       

       La procédure en cas de licenciement individuel pour motif économique
Synthèse  Tout employeur qui envisage de rompre - après la période d'essai- le contrat de travail à durée indéterminée d'un seul salarié pour un motif économique doit respecter les règles concernant :


       le reclassement du salarié ;
    l'ordre des licenciements ;
    la convocation du salarié à un entretien préalable avant toute décision ;
    la notification du licenciement ;
    l'information de la DIRECCTE ;
    le préavis
A savoir Lorsque le licenciement touche un salarié protégé (délégué du personnel, membre du comité d'entreprise, délégué syndical...), l'employeur doit obtenir une autorisation de l'inspecteur du travail pour pouvoir le licencier. Sommaire Fiche détaillée

Quelles sont les obligations de l'employeur en matière de formation et de reclassement préalable ? Le licenciement pour motif économique d'un salarié ne peut intervenir que lorsque :


       tous les efforts de formation et d'adaptation ont été réalisés ;
    et que le reclassement du salarié sur un emploi relevant de la même catégorie que celui qu'il occupe ou sur un emploi équivalent assorti d'une rémunération équivalente (la rémunération à prendre en compte est la rémunération globale, telle que définie à l'article L. 3221-3 du code du travail) ou, à défaut, et sous réserve de l'accord exprès du salarié, sur un emploi d'une catégorie inférieure ne peut être réalisé dans le cadre de l'entreprise ou, le cas échéant, dans les entreprises du groupe auquel l'entreprise appartient.
    Les offres de reclassement ainsi proposées doivent être écrites et précises.

Une procédure spécifique s'applique lorsque l'entreprise ou le groupe auquel elle appartient dispose d'implantations hors du territoire national. Cette procédure consiste pour l'employeur, avant de faire des propositions de reclassement à l'étranger, à s'assurer que le salarié concerné est d'accord pour recevoir de telles propositions et à quelles conditions. Les étapes suivantes sont prévues :
   

       L'employeur demande au salarié, préalablement au licenciement pour motif économique, s'il accepte de recevoir des offres de reclassement hors du territoire national, dans chacune des implantations en cause, et sous quelles restrictions éventuelles quant aux caractéristiques des emplois offerts, notamment en matière de rémunération et de localisation ;
    Le salarié manifeste son accord, assorti le cas échéant des restrictions mentionnées ci-dessus (niveau de rémunération, localisation de l'emploi proposé, etc.), pour recevoir de telles offres, dans un délai de 6 jours ouvrables à compter de la réception de la proposition de l'employeur. Le salarié qui ne répond pas dans ce délai est présumé ne pas vouloir recevoir de propositions de reclassement hors du territoire national.
    Si le salarié a donné son accord pour recevoir des offres de reclassement hors du territoire national, ces offres doivent être écrites et précises et tenir compte des restrictions que le salarié a pu exprimer. Le salarié reste libre de refuser ces offres. Le salarié auquel aucune offre n'est adressée est informé de l'absence d'offres correspondant à celles qu'il a accepté de recevoir.
    Les dispositions mentionnées ci-dessus résultent de la loi n° 2010-499 du 18 mai 2010 citée en référence ; pour plus de précisions sur ces dispositions, on pourra se reporter à la circulaire
    DGT n° 03 du 15 mars 2011


En quoi consiste l'entretien préalable au licenciement ? Avant toute décision de licenciement, l'employeur (ou son représentant) doit convoquer le salarié à un entretien préalable par lettre recommandée ou remise en main propre contre décharge qui mentionne :


       l'objet de l'entretien (c'est-à-dire le projet de licenciement) énoncé clairement et sans équivoque ;
    la date, le lieu et l'heure de l'entretien. Il ne peut se dérouler moins de 5 jours ouvrables après la présentation de la lettre recommandée ou la remise en main propre de la lettre de convocation. Les jours ouvrables sont les jours de la semaine à l'exception des dimanches et jours fériés.
    La lettre de convocation à l'entretien préalable doit également mentionner la possibilité pour le salarié de se faire assister lors de l'entretien par une personne de son choix, membre du personnel de l'entreprise. Lorsqu'il n'y a pas d'institutions représentatives du personnel dans l'entreprise, le salarié peut se faire assister soit par une personne de son choix appartenant au personnel de l'entreprise, soit par un
    un conseiller du salarié. La lettre doit préciser l'adresse des services où la liste des conseillers est tenue à la disposition des salariés.
Le défaut d'indication dans la lettre de convocation de la possibilité de se faire assister par un conseiller du salarié est sanctionné par le versement au salarié d'une indemnité au plus égale à un mois de salaire.
Au cours de l'entretien, l'employeur doit :


       indiquer au salarié le ou les motifs de la décision de licenciement envisagée ;
    recueillir les explications de l'intéressé.
C'est également au cours de cet entretien préalable que l'employeur doit informer le salarié du contenu et des modalités de mise en œuvre des dispositifs spécifiques de reclassement dont il peut bénéficier : contrat de sécurisation professionnelle (CSP) si l'entreprise compte moins de 1000 salariés ou s'il s'agit d'une entreprise en redressement ou liquidation judiciaire quel que soit son effectif ; congé de reclassementsi l'entreprise (ou l'établissement) compte au moins 1 000 salariés. A noter que le CSP est applicable aux procédures de licenciement pour motif économique engagées à compter du 1er septembre 2011, dans les entreprises de moins de 1000 salariés ou dans les entreprises en redressement ou liquidation judiciaire quel que soit leur effectif. Pour les procédures engagées jusqu'au 31 août 2011, ces employeurs devaient proposer une convention de reclassement personnalisé (ou, dans certains bassins d'emploi, un contrat de transition professionnelle) aux salariés dont ils envisageaient le licenciement pour motif économique. 


Comment est notifié le licenciement ? Après l'entretien et avant d'envoyer la lettre de licenciement, l'employeur doit attendre un délai minimal fixé ainsi :


       7 jours ouvrables pour un salarié non-cadre,
    15 jours ouvrables pour un cadre.
    La notification du licenciement est adressée au salarié sous forme de lettre recommandée avec avis de réception. Cette lettre mentionne obligatoirement :


       le motif économique à l'origine du licenciement. Si le motif n'est pas énoncé ou l'est insuffisamment, le licenciement est considéré comme dénué de cause réelle et sérieuse. Dans le cadre d'un licenciement pour motif économique, faire valoir simplement la fermeture de l'établissement est insuffisante.
    la priorité de ré-embauchage dont le salarié peut bénéficier ;
    la proposition de bénéficier d'un congé de reclassement.
Lorsque, à la date prévue ci-dessus pour l'envoi de la lettre de licenciement, le délai de réflexion de 21 jours dont dispose le salarié pour faire connaître sa réponse à la proposition de contrat de sécurisation professionnelle (CSP) n'est pas expiré, l'employeur doit lui adresser une lettre recommandée avec demande d'avis de réception :


       lui rappelant la date d'expiration du délai de 21 jours précité ;
    et lui précisant qu'en cas de refus de la CSP, cette lettre recommandée constituera la notification de son licenciement.
Dans la lettre de licenciement, l'employeur informe le salarié, s'il y a lieu, de ses droits en matière de droit individuel à la formation (DIF). Cette information comprend les droits visés à l'article L. 6323-17du Code du travail et, dans les cas de licenciements visés à l'article L. 1233-66 du code du travail (employeur tenu de proposer un contrat de sécurisation professionnelle - CSP - aux salariés dont il envisage le licenciement économique), les droits du salarié en matière de DIF définis par l'article L. 1233-67 du code du travail


Comment est informée l'autorité administrative ? Dans les 8 jours qui suivent la notification du licenciement au salarié, l'employeur est tenu d'informer la Direction régionale des entreprises, de la concurrence, de la consommation, du travail et de l'emploi (DIRECCTE). Cette information prend la forme d'une lettre recommandée avec avis de réception qui précise :


       le nom, l'adresse, l'activité et l'effectif de l'entreprise ;
    les nom, prénom, nationalité, date de naissance, sexe, adresse, emploi et qualification du salarié licencié ;
    la date de notification du licenciement.
Comment se déroule le préavis ? Le préavis commence le jour de la première présentation de la lettre de notification, que le salarié en accuse réception ou non. Sa durée est au moins égale à :


       1 mois pour une ancienneté comprise entre 6 mois et 2 ans ;
    2 mois pour une ancienneté égale ou supérieure à 2 ans.
Des dispositions plus favorables peuvent figurer dans le contrat de travail ou dans la convention collective applicable à l'entreprise. En outre, des dispositions spécifiques s'appliquent lorsque le salarié choisit de bénéficier d'une convention de reclassement personnalisé ou d'un congé de reclassement
Pendant le préavis, le contrat de travail se poursuit normalement. Si le salarié est dispensé d'effectuer tout ou partie du préavis à l'initiative de l'employeur, ce dernier doit :


       confirmer cette décision par écrit ;
    verser alors au salarié une indemnité compensatrice équivalente au salaire (y compris les augmentations, primes, gratifications...) qu'il aurait perçu pendant le préavis travaillé.
Sauf en cas de congés payés, d'accident du travail en cours de préavis ou de congé de maternité ou d'adoption, l'absence du salarié ne prolonge pas le préavis.      Qui contacter ?

       Inspection du travail
Textes de référence © Ministère du Travail, de l'Emploi, de la formation professionnelle et du dialogue social  Ces fiches pratiques donnent une information synthétique. Les informations fournies n'ont pas de valeur légale ou réglementaire.

lien : http://travail-emploi.gouv.fr/informations-pratiques,89/fiches-pratiques,91/licenciement,121/la-procedure-en-cas-de,1101.html

 
l'artiste est menteur mais l'art est vérité (François Mauriac)

Persévérance

Merki Feuf  ;)

Ce billet peut aussi être utile  ;)
Je vais finir par réussir à essayer d'arriver de ne plus paniquer dans le vide

angela

bon rendez vous de nouveau a pole emploi le 22 avril car il faut les 18 dernières fiches de paye, ça devient fou !!!

bisane

Et vous évitez toujours soigneusement de répondre sur la procédure... or il semble bien y avoir eu des irrégularités !  :P
il n'y a que les combats que l'on ne livre pas que l'on est sûr de perdre...

zorah0412

Citation de: bisane le 05 Avril 2013 à 07:57
Et vous évitez toujours soigneusement de répondre sur la procédure... or il semble bien y avoir eu des irrégularités !  :P


Oh que oui!
faut agir, là!  :P :P :P :P :P :P
juste pour être sûrs!


je vais te botter les fesses Angela!  >:D
mieux vaut être optimiste et se tromper que pessimiste et d'avoir raison!

feufolette

Citation de: angela le 05 Avril 2013 à 00:07
bon rendez vous de nouveau a pole emploi le 22 avril car il faut les 18 dernières fiches de paye, ça devient fou !!!

   Le demandeur d'emploi doit justifier de 122 jours d'affiliation ou 610 heures de travail
au cours des


       28 mois qui précèdent la fin du contrat de travail (terme du préavis) pour les moins de 50 ans
    36 mois qui précèdent la fin du contrat de travail (terme du préavis) pour les 50 ans et plus
Le nombre d'heures pris en compte pour la recherche de la durée d'affiliation requise est au maximum de 260 heures par mois.

Les périodes de suspension du contrat de travail sont retenues à raison d'une journée d'affiliation par journée de suspension.

source pole.emploi.fr

    compte tenu de l'arrêt maladie, les mois qui figurent sur l'attestation remise par son employeur ne sont pas suffisants pour donner droit à indemnisation, ils sont obligés de remonter plus loin (parfois il arrive que ce soit jusqu'à l'employeur précédent ou plusieurs ....)

    Et on ne peut pas te forcer la main, mais si les choses n'ont pas été faites dans les règles de l'art, ne pas bouger est regrettable, d'autant que cela peut aussi vous être préjudiciable en matière de droits à pole emploi
l'artiste est menteur mais l'art est vérité (François Mauriac)

angela

ne vous inquiétez pas le filles tout est en regle ;)

et comme tu dis zozo il a été en arret maladie trois mois donc on remonte un peu plus haut, il bien toutes les attestations employeurs destinées a l'assedic, le dossier est pret avec les copies des bulletins de salaire.

bon plusieurs réponses négatives au courrier suite a ses envois de CV  :-\

il va appeler un restau qu'un pote lui a conseiller , il semblerait qu'il chercherait un mec ! on verra bien !

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